Pendant longtemps les trois villages de la commune avaient chacun leur école, puis vint une époque où il fallut se mettre ensemble pour conforter des effectifs en diminution.
Quelques temps plus tard ce fut la création d’un RPI avec les communes de Vanne, Fédry et Vy les Rupt et la mise en place de la maternelle. Continuer la lecture de « Ecole de Soing »
Les associations
AAPPMA CUBRY : Dominique GILLET
ACCA SOING : Alain GLAUSER
ACCA CUBRY : Hervé GIRARDET
ACCA CHARENTENAY : Benjamin BARDY
A.F. SOING : Richard SEYLLER
A.F. CUBRY : Thierry CHALMIN
A.F. CHARENTENAY : Xavier FIGARD
AMICALE DES SAPEURS POMPIERS : Serge FERRAND
ANCIENS COMBATTANTS A.F.N. : Pierre FOISSOTTE
CHARENTENAY ARTS ET LOISIRS : Yvonne CHEVALIER
CLUB 3ème AGE LE RENOUVEAU : Simone HEZARD
COMITE DES FÊTES : BOUVET Jean-Claude
COOPERATIVE SCOLAIRE VIF ARGENT : Carol RENNES
F.A.R. : Dominique CHEVALIER
FOOTBALL CLUB : Aurélien BAILLY
LE VILLAGE DE CUBRY : Nasthasia KOVACS
MAM EN PLUME : Cécile PETIT
SOCIETE DE PÊCHE : Marcel CHEVALIER
TRIODYN : Jean-François MILLOT
Permanence Mairie et Poste
MAIRIE :
11 place de la République
cidex 1 bis Soing
70130 SOING CUBRY CHARENTENAY
Tel : 03 84 78 41 97
mail : mairie.soing@wanadoo.fr
Secrétariat de mairie et agence postale communale :
lundi, mercredi, jeudi de 8h30 à 12h00
mardi de 13h30 à 16h30
vendredi de 8h30 à 11h00
Cubry : mardi de 11h00 à 12h00
Charentenay : jeudi de 15h15 à 16h15
Comptes-rendus
30 – PV Séance du CM du 09042024
29 – PV Séance du CM du 26022024
28 – Procès-verbal du CM du 19 décembre 2023
27 – Procès-verbal du CM du 6 novembre 2023
26-Compte-rendu Conseil Municipal du 21 septembre 2023
25-PV Séance du CM du 25052023
21-PV Séance CM du 08-12-2022 22
20-Procès-verbal Conseil Municipal du 25 octobre 2022
19-PROCES VERBAL DU CONSEIL MUNICIPAL DU 8 septembre 2022
17-Compte-rendu CM du 11 avril 2022
16-Compte rendu Conseil Municipal du 28 mars 2022
14-CR Conseil du 16 décembre 2021
13-CR Conseil du 16 novembre 2021
12-CR Conseil du 27 septembre 2021
11-CR Conseil du 22 juillet 2021
10-Compte-rendu Conseil Municipal 8 juin 2021
9-Compte rendu CM 13 avril 2021
8-Compte-rendu Conseil Municipal du 11 février 2021
7-Compte-rendu Conseil Municipal 15 décembre 2020
6-CR Conseil du 29 octobre 2020
5-Compte-rendu Conseil Municipal 29 septembre 2020
4-Compte-rendu CM 10 juillet 2020
Le conseil municipal
Le conseil municipal
Didier PIERRE, Maire,
Maryse GLAUSER, 1ère adjointe,
Richard SEYLLER, 2ème adjoint,
Thierry CHALMIN, Maire délégué de Cubry,
Xavier FIGARD, Maire délégué de Charentenay,
Martine GILLET, conseillère municipale Cubry,
Hervé GIRARDET, conseiller municipal Cubry,
Lionel MORAND, conseiller municipal Charentenay,
Jean-Luc VOITOT, conseiller municipal Charentenay,
Juliette BARBEROT, conseillère municipale Soing,
Sébastien CHEVALIER, conseiller municipal Soing,
Jean-François MILLOT, conseiller municipal Soing,
Cédric PETIT, conseiller municipal Soing,
Gilles ROBERT, conseiller municipal Soing,
Nadège ROUSSEL, conseillère municipale Soing.
La Fontaine Lavoir-Abreuvoir de Cubry
Située à l’entrée du village de Cubry-Les-Soing, côté Soing, cette fontaine, d’après un devis estimatif et instructif de la somme de 2 709.82 francs, du 4 mai 1820 (enregistré à Gray le 22 avril 1822), a été édifiée fin 1822 ou début 1823.
Elle possédait un lavoir-abreuvoir, très original par sa dimension (510m2) et par sa composition architecturale : le bassin du puit se présente sous la forme d’un petit temple néoclassique avec des arcades en plein cintre, surmontées de frontons. L’ensemble comprend un lavoir quadrangulaire et deux abreuvoirs. Edifiée sur les ruines d’un lavoir et d’un bassin de source, c’était le principal point de ravitaillement en eau potable de Cubry, avec quelques puits aujourd’hui comblés, disparus ou abandonnés.
Malheureusement, cette source située dans un bas-fond, en bordure du ruisseau dit des puits ou de l’étang, était recouverte à chaque crue un peu forte de la Saône et était rendue inutilisable pendant un certain temps, d’où son abandon dès 1867 lors de la construction de la nouvelle adduction d’eau de Cubry, en provenance d’une source captée au lieu-dit la « Patte Rouge » à Chantes, et de l’installation consécutive de lavoirs et abreuvoirs dans la rue principale du village. A son tour, cette source fut abandonnée en 1963-1964 et remplacée par le captage actuel de la fontaine aux Dames sur le territoire de Traves. Les archives conservent un nombre important de projets d’amélioration dont le plus audacieux prévoyait en 1891, la mise en place d’un système d’élévation fonctionnant avec une éolienne (architecte Sauteret). Abandonné au profit d’une autre source, le site est progressivement envahi par les ronces…
1995 : mise à jour des éléments d’architecture, tous ces éléments étant plus ou moins entérrés ou disloqués, dont le pavage enfoui sous 40cm de terre.
Dès 1997 : rénovation avec l’entreprise Pateu et Robert, réfection du puisoir et du lavoir. L’aide des chantiers de jeunes, la durée des travaux est de 5 ans :
1ère et 2ème année : nettoyage du site, montage du mur d’enceinte en pierres séchées.
3ème , 4ème et 5ème année : pavage du site, montage des murs séparant la partie lavoir de la partie abreuvoir.
2000-2001 : réfection des deux abreuvoirs (entreprise Pateu-Robert).
Moulin de Soing
LE MOULIN DE SOING
Le 25 mai 1711, les habitants de Soing représentés par leurs 2 échevins et le maire Mr Chevillon, échangent des prés (4 fauchées de prés au Breuil contre un pré communal en la prairie appelé « Ille Tappie » ou « Ille des Saussots ») avec le seigneur Louis de Clermont de Rupt pour y faire construire un moulin à eau avec écluses, empalement et portière.
Jean-François Vivien du Pont de Planches se présente pour le construire. Il en obtient l’acensement et la propriété pour une période de 29 ans, contre le versement annuel de 64 mesures de froment (à l’issue de ce bail, le seigneur de Rupt en sera le seul maître).
(Vivien fournira tous les matériaux. Néanmoins, vu les avantages et l’utilité du futur moulin, les habitants de Soing lui permettront de couper dans leurs bois communaux et ce, à perpétuité. En considération de ces bons services, Vivien leur promet de moudre en priorité leur grain, avant celui des étrangers).
De 1719 à la révolution, de nombreux amodiateurs (bailleurs ou loueurs) se succèdent. En revanche, les propriétaires sont de 1711 à 1740, Jean-françois Vivien et de 1740 à la Révolution, le seigneur de Rupt.
Le moulin se dégrade suite à des inondations répétées. Les murs, le plancher qui supporte les piliers de l’escalier, la portière en bois et les écluses sont en mauvais état.
A la Révolution, le moulin est confisqué comme bien national, il est vendu aux enchères le 2 thermidor an 2, estimé à 91 000 livres. Pour 42 000 livres seulement, le citoyen Cugnot, de Battrans en devient le propriétaire, le 12 nivôse an 3.
De 1795 à 1835, les propriétaires sont successivement : Cugnot, Jean-François Cavin, Samuel Blum et Langlois. Pendant cette période, le moulin est doté d’un patouillet à roue, d’un bassin d’épuration avec une rigole qui traverse le chemin de Vanne à Soing (actuel canal).
En 1835, le moulin est vendu en justice à Monsieur Nicolas Morel de Vaite. A cette époque le moulin se compose de 3 bâtiments principaux (2 couverts en tuiles et 1 en paille), de cours et de jardins, du barrage en écluse formant la retenue. Le 1er bâtiment s’appelle « le vieux moulin » et le 2ème « le moulin neuf ».
En 1842, Mr Morel rencontre des problèmes avec le service navigation qui lui dresse procès-verbal pour la démolition du vieux moulin et la reconstruction sans autorisation du mécanisme de l’usine. D’ailleurs de nombreux litiges suivront avec les services de la navigation obsédés par les éventuelles inondations.
Malgré cela, en 1844, le bâtiment du moulin est prolongé de 8 m sur la Saône (travaux accordés par le préfet, préfet qui par ailleurs l’obligera en 1855, de reconstruire 2 barrages de retenue, le pertuis et 1 déchargeoir en pierres de taille).
Cette même année, la société « Charles Faivre et Sauvage » est créée par 2 nouveaux bailleurs du même nom. Elle emploie 9 ouvriers. Mais elle sera dissoute en 1866 puis en faillite en 1872.
(Les bailleurs devaient respecter un bail, de durée variable mais dont la rigueur, ajoutée aux dégâts occasionnés par les fréquentes inondations, les conduisaient à la faillite).
En 1872, Ernest Auguste Ramondot devient le nouveau bailleur. En 1874, il achète le moulin à Léon et Maurice Morel, héritiers de Nicolas Morel. Le montant de la vente s’élève à 40 000 francs.
Le 1er décembre 1960, Georges Barberot achète le moulin à Emile Ramondot. Ses fils Bernard et
Jean-Louis travaillent avec lui. A son départ en retraite en 1973, Bernard en prend la direction.
La société « Les moulins de Soing », S.A.R.L. créée en 1972 comportera 7 personnes. Elle traitera jusqu’à 25 000 quintaux de blé par an, provenant de Haute-Saône, de Côte d’or et de Saône et Loire.
(Par ailleurs de nouveaux silos permettront une capacité de stockage de 15 000 quintaux et en 24 h, 250 quintaux de blé pourront être transformés en farine).
Jusqu’en 1964, les machines fonctionnent au moyen de la force hydraulique de la Saône.
Après, l’installation utilisera l’électricité, les turbines étant hors d’usage.
En 1983, la société « les moulins de Soing » renoncent à son droit d’eau.
Le 1er septembre 1999, les machines s’arrêtent. Ainsi s’achève une histoire de près de 3 siècles.
Tous nos remerciements à Madame Gueniffet Yvette, pour nous avoir procuré toutes ces informations.
Les croix de Soing
LES CROIX DU VILLAGE DE SOING
Soing possède 2 croix anciennes classées aux monuments historiques, d’après un dossier établi par Albert Chenevard maire du village à l’époque.
Elle se compose d’un piédestal de plan octogonal, d’une colonne monolithe dorique qui a remplacé en 1974 la colonne et le chapiteau ionique à cornes originels, d’un croisillon portant la représentation du Christ en croix et de deux saintes femmes debout au pied de la croix. La partie abîmée fut sciée et remplacée par un tronçon équivalent. Ce dernier, qui comporte une niche, a été prélevé sur une modeste croix de l’ancien cimetière, approximativement de la même époque. L’apport de cette niche donne un charme particulier à cette magnifique croix, bien en harmonie avec l’église toute proche.
(Cette restauration a été réalisée par le marbrier Mr Javelier de Gray).
« XIIIème siècle, Emmenée à Vesoul, Réclamée en litige, Demandée pour Musée 1919 Ramenée Par l’abbéMongin 1929 » (à noter l’erreur de siècle).
Cette croix, ayant également subi des dommages (robe de la vierge cassée, saints très abîmés), nécessitait aussi une restauration. Pour qu’elle retrouve sa pleine valeur, Mr Javelier, tailla un socle dans un tronçon de pierre de même qualité que le fût, et ensuite procéda à un échange. Le socle actuel porte l’inscription « Socle du XIIIème », mais ce n’est pas le socle initial. Superbement restaurée, avec son Christ de face, sa vierge à l’enfant derrière, ses petits saints Ferréol et Ferjeux de part et d’autre (la tête dans leurs mains puisqu’ils ont été décapités), cette croix classée de 3.41m, qui domine la crête, mérite toute notre attention. Entre temps, la partie basse (les marches et le socle) de la croix des Beaux regards, a été retrouvée et sera transplantée au bas du village, près de la fontaine, en direction du moulin, elle sert de support à une jolie croix de fonte. Les inscriptions gravées par le curé Mongin ne sont pas visibles de face, mais peuvent induire en erreur ceux qui les lisent au dos et qui ne connaissent pas l’histoire.
A ces deux croix anciennes, on pouvait en rajouter 8, ce qui portait le nombre de croix à 10 pour le village de Soing: les deux croix ci-dessus, celles de l’église et du cimetière, et 6 répertoriées en 1857 sur la cartographie établie par le préfet Dieu (1 sur la route de Cubry à la croisée des deux chemins, 1 en ST Martin, 1 au dessus de la Creuse à la croisée des routes, 2 au Préchaplot et 1 au-dessus de la Côte).
Renseignements fournis aimablement par Madame Yvette Gueniffet.
Le Château de Soing
Edifice de 28 m de long, de 14,50 m de large, flanqué de trois tourelles à l’arrière.
Date de construction : 1749.
Propriétaires :
– 1749 : Eléonor, Joseph, Louis d’Amandre, seigneur de Soing.
– 1783 : Mme Braconnier, veuve Caron, maître de forges, belle-mère du député de la Constituante Muguet de Nanthou. Ce député, maire de Soing, y décéda en 1806.
– transmis par héritages (Falacieux, d’Autet, de Breda).
– 1878 : vendu aux enchères à la famille Blandin, propriétaire de la ferme des Herbues.
– 1881 : racheté par Mr Jacotot Pierre, notaire à Dijon.
– 1920 : vendu aux enchères à Mr Courbet Octave, négociant à Nancy.
– fin 1920 : acquis par la commune qui y regroupe dès 1921 mairie et écoles, puis la Poste en 1926 et enfin la salle des fêtes dans les années 1950.
Les cheminées, l’escalier et les boiseries semblent d’origine.
Le parc entièrement clos possédait des arbres magnifiques dont on admire encore deux charmilles.
Fontaine des Ormois
La fontaine des Ormois
La fontaine des Ormois fut édifiée en 1780 par Anatole Amoudru, l’un des architectes comtois les plus productifs et influents de son époque. Longtemps oubliée, puisqu’enfouie sous des monceaux de terre, la fontaine a été dégagée en 1988 ! Aménagée au pied d’une source, elle est composée d’un petit édicule et de 2 bassins ovales : l’abreuvoir et le lavoir. Ces éléments sont entourés par un pavage rayonnant et reliés entre eux par des rigoles déversant l’eau selon le principe des vases communicants.
Départ : camping La Louvière à Soing
Distance :6,5 kilomètres
Balisage : anneau jaune
Péri-scolaire
La Communauté de Communes des Combes a confié la gestion des centres d’accueil éducatif et de loisirs à la Ligue-FOL 70 (Fédération des Oeuvres Laïques de Haute-Saône).
La Tour Eiffel
Réalisée en 1992 par une vingtaine de bénévoles pour symboliser la France à la fête Eurosaône le 12 juillet à Seveux .
Sur proposition de quelques membres de l’Amicale des sapeurs-pompiers, la commune décida de lui redonner un peu de lustre.
Une équipe de bénévoles après son démontage et son nettoyage décida de la repeindre en avril 2012.
en quelques semaines le travail fut exécuté et la Tour Eiffel put à nouveau trôner en bordure de la zone de loisirs.
Le 30 juin 2012, pour fêter ses 20 ans d’existence, une petite cérémonie en présence de ceux qui l’avaient réalisée deux décennies plus tôt, eut lieu sur le site. Une plaque commémorative a été posée ce jour-là pour rappeler l’historique et les caractéristiques de cet édifice.
CARACTERISTIQUES :
Echelle : au 1/20ème
Hauteur : 16 mètres
Poids : 2500 kg de fer
Communauté de communes des Combes
Intercommunalité
C3 – Communauté de Communes des Combes
Président(e) : Carmen FRIQUET
Adresse :
MAIRIE
70360 Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin
Téléphone : 03 84 92 72 12
Fax : 03 84 92 73 56
Site Internet : www.cc-descombes.fr
27 communes membres
Aroz, Baignes, Boursières, Bucey-lès-Traves, Chantes, Chassey-lès-Scey, Chemilly, Clans, Confracourt, Ferrières-lès-Scey, La Neuvelle-lès-Scey, La Romaine, Mailley-et-Chazelot, Neuvelle-lès-la-Charité, Noidans-le-Ferroux, Ovanches, Pontcey, Raze, Rosey, Rupt-sur-Saône, Scey-sur-Saône-et-Saint-Albin, Soing-Cubry-Charentenay, Traves, Velle-le-Châtel, Velleguindry-et-Levrecey, Vy-le-Ferroux et Vy-lès-Rupt.